La question agite de plus en plus les chercheurs en sciences sociales : sur l'application de la notion démocratique ou le poids des multinationales.
Si la démocratie n'est plus qu'un mot appliqué à des régimes gérés par des oligarques, n'appartient-il pas aux peuples de retrouver leur pouvoir ? et quelle crédibilité ont les "démocraties occidentales" dans les échanges internationaux, lorsqu'elles veulent imposer leur point de vue, si elles ne sont plus des démocraties ?
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